Suite au festival de Mode et  Design de Montréal qui a une nouvelle fois attiré bon nombre de curieux, la diversité et la complexité du métier de mannequin a été abordée par des journalistes québecois.

Moyen de gagner de l’argent plus facilement que pour d’ autres métiers pour quelques unes, mode de vie fascinant pour d’autres entrainant voyages, diversité, rencontres , le mannequinat a toujours été convoité par des jeunes femmes aimant l’action et le changement, cassant la routine quotidienne d’un métier plus « traditionnel ».

Pour certaines agences de Mannequinat, les voyages sont le point fort de ce métier, et pour les Top Models l’unique moyen de se construire une carrière solide, que ce soit Tokyo, Paris, Milan et d’autres grandes villes ou la mode est reconnue … ce passage est obligatoire pour espérer se hisser parmi les  mannequins à succès.

Le but pour elles, étant de s’insérer dans ce milieu artistique et de construire ainsi leur propre réseau professionnel qui se composera d’agents, de créateurs de mode, de personnalités connues… et qui les guidera tout au long de leur vie.

Le mannequin se doit d’avoir son propre style et ne doit pas se focaliser sur un refus à un casting.

L’illustration est simple, un vêtement n’est pas universel et ne va pas à tout le monde, l’image est la même pour un mannequin, les designers et les créateurs ont lors de la conception d’une de leurs pièces une idée bien  précise du mannequin qu’ils veulent pour la mettre en valeur.

L’exigence d’un casting vient de l’exigence des créateurs.

Comme le stipule la responsable de l’agence Giovanni, le mannequin est à la base un produit. Lorsqu’un Top Model est engagé dans une campagne publicitaire pour promouvoir un produit, le seul but est de vendre celui-ci et non de mettre en valeur le mannequin.

Le mannequin est très vite confronté à une certaine autonomie, contrairement aux mannequins hommes les mannequins féminins débutent génerallement très jeune leur apprentissage et leur carrière